Découvert lors de la dernière édition de Freerotation où il se produisait en live, l’irlandais Johnny Oakley aka Monoak fut l’une de nos plus grosses claques et surprises du festival. Vivant désormais à Londres, l’approche musicale de l’artiste est assez unique. Il produit une sorte de deep techno breakée, mélodique et profonde et vient de signer son premier disque et deuxième sortie du label de nos chers Steevio et Suzybee suite au maxi magnifique de Soulphiction, Juju, Jordash, Move D et Steevio sous leur pseudo The High-on-Wye Quintet. Après une armada pareille pour une première sortie on aurait pu s’attendre à être déçu du second mais Monoak a su relever le défi avec brio.
Le track idéal pour détruire un dancefloor ?
On se doit d’aimer les breaks.
Le track idéal en after ?
Celui-là fera au moins danser les femmes à votre soirée.
Le track idéal pour commencer un set ?
Morceau incroyable. J’adore le groove.
Le track idéal pour avoir le smile ?
Un pote l’a décrit comme une sorte de Talking Heads afro. Je suis d’accord.
Le track idéal pour se délecter d’un 18 ans d’age dans un fauteuil au coin du feu ?
Quel choeur de basse! Superbe musique.
Le track idéal pour replonger en enfance ?
Ça vient d’une cassette sur-écoutée dans la voiture de mon père. Ça, Queen Greatest Hits et Kate Bush…… ça aurait pu être pire.
Le track idéal pour te réveiller ?
Tranquillement….
Le track idéal à n’importe quelle heure ?
Pure ligne de basse et vocaux.
Ta plus grande inspiration musicale ?
Une parmi tant d’autres…
Photo © Jessica Marsh / Daddy’s Got Sweets